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Puissances de la Pensée

La pensée est une puissance, un instrument que Dieu a donné à l'homme pour qu'il puisse devenir créateur comme Lui, c'est-à-dire créateur dans la beauté, dans la perfection. Aussi doit-il être extrêmement vigilant et chercher sans cesse si ce qu'il fait avec sa pensée est vraiment bon pour lui et pour le monde entier. C'est de cela seulement qu'il doit s'occupe...

Puissances de la Pensée

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  • Michaël Ivanoff, dit depuis 1960 Omraam Mikhaël Aïvanhov, né le 30 janvier 1900 à Serbtzi en Bulgarie ; mort le 25 décembre 1986 près de Fréjus en France. Maître spirituel bulgare, francophone, qui a donné un "enseignement strictement oral", à la fois ésotérique et initiatique, dans la tradition de l'École bulgare de Peter Deunov (1922), et de tendance chrétienne au sens large.

    Michaël Ivanoff d'une famille très modeste. Son père a un commerce de bois. Aujourd'hui Serbtzi se trouve en Macédoine. "Après le pillage de son village par les Grecs en 1907, la famille s'installe à Varna, sur les rives de la mer Noire, à l'Est de la Bulgarie".[1] "Il découvre en 1909 le Livre des Proverbes de Salomon, qui lui donne l'envie de devenir prophète."

    À l'âge de dix-sept ans, Michaël Ivanoff rencontre le maître spirituel Peter Deunov. Il étudie et met en pratique l'enseignement ésotérique chrétien de celui-ci durant vingt ans, aux termes desquels celui qu'il considère comme son maître spirituel l'envoie en France afin de préserver son ouvre de la menace communiste. Il quitte alors son poste de directeur de collège près de Sofia, ses proches, ainsi que son pays natal.

    Arrivé en France le 22 juillet 1937, il apprend le français, il donne sa première conférence publique à Paris le 29 janvier 1938. On l'appelle "Frère Michaël". En 1946, un premier recueil des conférences de 1938 est publié sous le titre Amour, Sagesse, Vérité, avec une introduction de Lanza del Vasto. En février 1944, il apprend le décès de son maître, celui dont il croyait jusque-là préparer la venue en France.

    Arrêté le 21 janvier 1948, il est condamné le 27 juillet 1948 à quatre ans de prison par la 12° chambre correctionnelle de Paris. Certains documents citent une accusation d'"espionnage (sur la base d'accusations fabriquées de toutes pièces)"[réf. nécessaire], d'autres parlent de "viols commis sur quarante femmes (ayant fait de faux témoignages)". En toile de fond, on trouve, en 1947, "un aventurier qui se faisait appeler Prince Cherenzi Lind, Maha Chohan (Grand chef) et Suprême Régent du Royaume de l'Agartha"[4]. Ivanoff est libéré dès mars 1950 et réhabilité le 28 septembre 1960 par la Cour d'Appel d'Aix-en-Provence. Le garde des sceaux ministre de la justice, Edmond Michelet, lui enverra une lettre d'excuses[réf. nécessaire]. Mais il n'obtiendra pas la nationalité française.

    "Frère Michaël" reprend son activité d'enseignement jusqu'à son départ pour l'Inde, le 11 février 1959. Selon son témoignage, il rencontre là-bas différents maîtres spirituels dont Shrî Neem Karoli Bâbâ (mort en 1973), Mâ Ânanda Moyî (1896-1982), swâmi Nityananda (1896-1961), Anâgârika Govinda (1898-1985), le fabuleux Mahavatar Babaji, qui l'appelle le french sadhou (le sage français).

    Sous le nom d'Omraam Mikhaël Aïvanhov, il rentre en France un an plus tard, le 9 février 1960. À partir de ce jour-là, il sera appelé maître. Durant les années qui suivent, il partage son temps entre voyages et enseignement, visitant les lieux saints de la planète, donnant plus de 5000 conférences. En janvier 1984, "il fait la rencontre du Président Ronald Reagan et de la médium Jeane Dixon".

    Il décède au Bonfin, près de Fréjus, le 25 décembre 1986.

  • http://eveil2000.com/Livres/Omraam%20Mikhael%20Aivanhov%20-%20Puissances%20de%20la%20pensee.pdf

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